By Rana MOUSSAOUI Avignon (AFP) – “Quelle abnégation!”, lance la comédienne au public. Ou “ils sont masochistes”, plaisante un autre acteur. Au Festival d’Avignon, une épopée théâtrale relève le défi de garder assis des spectateurs pendant 13 heures… avec quelques entractes tout de même. Ce n’est pas une première. En 2018, Julien Gosselin faisait une adaptation en dix heures de trois romans de l’Américain Don DeLillo et, cette année-même, le directeur sortant du festival, Olivier Py, monte sa monumentale oeuvre “Ma Jeunesse exaltée” (10 heures également). A la Fabrica, une des scènes du fest…