Madrid (AFP) – Moins d’un mois après la dernière vague de chaleur, le mercure remontait déjà lundi à des niveaux exceptionnellement élevés dans la péninsule ibérique, où le thermomètre a dépassé les 42 degrés, et dans le sud de la France. La multiplication des vagues de chaleur est une conséquence directe du réchauffement climatique, expliquent les scientifiques, les émissions de gaz à effet de serre augmentant à la fois l’intensité, la durée et la fréquence de ces phénomènes. En Espagne, un maximum de 42,4 degrés a été enregistré à Séville à 15H40 (13H40 GMT), selon l’agence météorologique es…